Nous avons une création de dernière minute de la part de Syria, qui fait suite à celle de Friz et qui nous présente un extrait du contenu des Chroniques de Bri :
[i]Voici un extrait du contenu des chroniques de Bri, raconté de mémoire par Syria…
Je venais d’arriver à Gwo, perdue, transie du froid de l’eau dans laquelle le vortex magique m’avait poussée. Me retrouvant sur la place, je m’aperçue que je n’y étais pas la seule étrangère. Et pas la seule trempée. Je me rinçais à l’eau de la fontaine, comme j’avais vus le faire plusieurs personnes. L’eau fraiche me glaça la peau mais rinça le sel de mer qui commençait à m’irriter. Je finis par frissonner violemment. Il faisait vraiment froid ici, et le soleil était caché par d’épais nuages blanc. Le vent glacial n’arrangeait rien. J’aperçus ce qu’il me semblait être des villageois qui accueillaient les étrangers. Ils fournissaient vêtements secs et indiquaient ou nous pourrions passer la nuit suivante. J’attrapais vivement une cape et m’éloignais de l’attroupement pour laisser la place à d’autres. Je visitais le village, guère plus qu’un village de pécheurs et de paysans ravagés par la guerre contre une Ombre ? Qu’importe. Je revins rapidement sur la place. L’agitation s’était calmée et à présent, les trois villageois se baladaient parmis les nouveaux venus que nous étions. Ils renseignaient poliment mais simplement. Remise de ce bain forcé, mes émotions apaisées, je perçus une aura de force divine émanant de ces trois là . Ils n’étaient assurément pas de simples villageois.
Finalement, je me mis à discuter avec un autre étranger. Nous nous comprenions approximativement, ajoutant les gestes quand la paroles ne suffisaient plus. J’aurais bien de peine aujourd’hui à vous dire de qui il s’agissait. Un autre homme s’est approché de moi par derrière pour venir discuter avec nous. Je ne savais pas que cela était courrant ici, mais chez moi, cela peut être considéré comme une agression. Je me suis donc dégagée en badinant que je ne faisais pas de parties à trois le premier soir.
Bri s’est approché, et charmeur, m’a lancé : C’est bien dommage !
C’est depuis ce jour que je l’appelle Maître, car il est le premier à m’avoir coupé le sifflet.
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