2010-10-14 00:19:08
[color=chocolate]De l’autre côté des portes de la cité, un terrible grondement se fait entendre, à ouïr les gens s’affoler, on peut croire qu’il s’agit là de quelque chose d’important. De là ou je suis, je les discerne, et leur cris transpercent les lourdes portes en bois. On pourrait croire à une Rébellion. D’après les dire de l’homme assis en face de moi, il n’en est rien, et que c’est quelque chose qui aura son importance dans le futur, mais pour l’heure, je ne dois pas m’en inquiéter. S’il m’a fait venir ici, c’est pour raison bien précise. 
Je l’écoute attentivement tout en faisant tourner la pointe de mon glaive dans la terre. À chaque mot qu’il emploie je souris d’avantages. Ce qu’il attend de moi, semble tout à fait me convenir. Il me tend une carte ou sont dessiné quelques montagnes et rivières. Le plan est rudement bien détailler et il semblerait que je ne sois pas la seule à avoir déjà franchi le portail. Alors, pourquoi moi ? En connaissant la situation, il est évident que j’aurais plutôt fait appel à un homme pour cette mission. Il a sans doute de bonnes raisons pour m’adresser cette tâche. Je décide alors, de ne rien ajouter. Il faut que je parte le plus vite possible, le temps presse.
Je mets mon casque sur la tête, range mon arme dan son fourreau, et me l’attache au dos. Je hoche la tête en direction de mon interlocuteur, puis sans même me retourner sort de sa hutte.
Le portail, n’est qu’à quelques pas, d’abord je dois traverser la cité qui ne se résume en fait qu’à un village en proie à un proche chaos qui sommeille encore au fin fond des entrailles de la terre. Une obscurité rôde, et le sang s’agglutine avec discrétion sur la commissure des lèvres de tous ces insignifiants manants. Ils ne se doutent de rien, et moi, je marche sur l’ombre du diable qui se cache dans le corps même d’un de ceux-là . Moi, je ne serai plus là pour prendre part au combat. D’autres terres m’attendent et une mission à accomplir. J’ai un coup d’avance sur la proie, à moi, d’en profiter.
Mon entrée se fait des plus discrète. Quelques âmes se rencontrent ça et là pour discuter de la pluie et du beau temps, tout en passant à côté je tends l’oreille et essaie de retenir si dans une parole j’entends son nom ou bien même qu’on parle de son apparence. Mes recherches sont vaines pour le moment, et la faim commence à se faire sentir. Mais avant que je ne m’arrête, j’ai décidé d’aller explorer la grotte qui se trouve au Nord ouest.
Quand je parviens au devant de l’entrée, je délie mon épée, et me met en posture défensive. Après tout, je ne sais quel animal vit en ce lieu, vaut mieux être prudente. J’y rentre doucement et à pas feutré j’avance à peine. Il n’y a pas âme qui vive à en écouter les échos.
Soudainement, un bruit sourd me parvient, il semblerait que ca vienne de la droite, je reste statique en attendant que l’éventuelle chose s’avance, je suis prête à lui foncer dessus avec hargne et à lui infliger ainsi une blessure bien profonde. J’attends, et toujours rien … je perds patience alors je décide de rebrousser chemin, il n’y a guère à dire, ce n’est pas là le cri d’un humain. Je gaspille mon temps …
Je me dirige vers la sortie, sur le chemin de retour, je croise tout de même quelqu’un, je ne sais que doit être ma réaction. Il porte un vêtement flamboyant, et un masque sur le visage. Je ne peux me faire remarquer, aussi je baisse la tête, laissant les cornes de mon casque dissimuler mon visage. Je hoche la tête en sa direction, et lui transmet mes hommages avant de me retrouver à l’air libre.
A présent, je cherche refuge pour la nuit, il serait mal aisé de me faire remarquer dès le premier jour. Si je suis la carte, au milieu du village trône une auberge, c’est là que je me rends en espérant en toute discrétion.[/color].
Je l’écoute attentivement tout en faisant tourner la pointe de mon glaive dans la terre. À chaque mot qu’il emploie je souris d’avantages. Ce qu’il attend de moi, semble tout à fait me convenir. Il me tend une carte ou sont dessiné quelques montagnes et rivières. Le plan est rudement bien détailler et il semblerait que je ne sois pas la seule à avoir déjà franchi le portail. Alors, pourquoi moi ? En connaissant la situation, il est évident que j’aurais plutôt fait appel à un homme pour cette mission. Il a sans doute de bonnes raisons pour m’adresser cette tâche. Je décide alors, de ne rien ajouter. Il faut que je parte le plus vite possible, le temps presse.
Je mets mon casque sur la tête, range mon arme dan son fourreau, et me l’attache au dos. Je hoche la tête en direction de mon interlocuteur, puis sans même me retourner sort de sa hutte.
Le portail, n’est qu’à quelques pas, d’abord je dois traverser la cité qui ne se résume en fait qu’à un village en proie à un proche chaos qui sommeille encore au fin fond des entrailles de la terre. Une obscurité rôde, et le sang s’agglutine avec discrétion sur la commissure des lèvres de tous ces insignifiants manants. Ils ne se doutent de rien, et moi, je marche sur l’ombre du diable qui se cache dans le corps même d’un de ceux-là . Moi, je ne serai plus là pour prendre part au combat. D’autres terres m’attendent et une mission à accomplir. J’ai un coup d’avance sur la proie, à moi, d’en profiter.
Mon entrée se fait des plus discrète. Quelques âmes se rencontrent ça et là pour discuter de la pluie et du beau temps, tout en passant à côté je tends l’oreille et essaie de retenir si dans une parole j’entends son nom ou bien même qu’on parle de son apparence. Mes recherches sont vaines pour le moment, et la faim commence à se faire sentir. Mais avant que je ne m’arrête, j’ai décidé d’aller explorer la grotte qui se trouve au Nord ouest.
Quand je parviens au devant de l’entrée, je délie mon épée, et me met en posture défensive. Après tout, je ne sais quel animal vit en ce lieu, vaut mieux être prudente. J’y rentre doucement et à pas feutré j’avance à peine. Il n’y a pas âme qui vive à en écouter les échos.
Soudainement, un bruit sourd me parvient, il semblerait que ca vienne de la droite, je reste statique en attendant que l’éventuelle chose s’avance, je suis prête à lui foncer dessus avec hargne et à lui infliger ainsi une blessure bien profonde. J’attends, et toujours rien … je perds patience alors je décide de rebrousser chemin, il n’y a guère à dire, ce n’est pas là le cri d’un humain. Je gaspille mon temps …
Je me dirige vers la sortie, sur le chemin de retour, je croise tout de même quelqu’un, je ne sais que doit être ma réaction. Il porte un vêtement flamboyant, et un masque sur le visage. Je ne peux me faire remarquer, aussi je baisse la tête, laissant les cornes de mon casque dissimuler mon visage. Je hoche la tête en sa direction, et lui transmet mes hommages avant de me retrouver à l’air libre.
A présent, je cherche refuge pour la nuit, il serait mal aisé de me faire remarquer dès le premier jour. Si je suis la carte, au milieu du village trône une auberge, c’est là que je me rends en espérant en toute discrétion.[/color].
