2011-11-01 21:04:12
Installée à un secrétaire dans la bibliothèque de la demeure, Mirricith resta pensive un instant à la lecture les histoires que les habitants avaient envoyés aux Gardiens. Elle prit un parchemin et trempa sa plume dans l'encrier, pour se divertir elle décida d'imaginer la suite de celle considérait comme la meilleure.
[i]" ... La musique prenait de l'ampleur au fur et à mesure que la jeune fille s'approchait du coffre. Elle resta quelques minutes figée se posant milles questions qu'y avait-il dedans ? qu'est ce qui produisait cette mélodie ? Devait-elle le transporter ainsi fermé à sa chaumière ? Faire comme si elle ne l'avait pas vu ? Sans prendre conscience de son geste, elle posa sa main dessus, la symphonie l'hypnotisait. Comme si elle lui intimait de céder à la tentation de l'ouvrir.
Elle prit une grande inspiration puis posa ses paumes sur le couvercle doré et le souleva avec peine, une lumière en jaillit, aveuglée, elle ferma les yeux. La mélodie résonna de plus belle de notes assourdissantes et enivrantes. Elle ouvrit les yeux, la nuit était tombée, comme si elle avait perdu connaissance durant de longues heures. Le coffre toujours dans ses mains était vide. Qu'avait-elle délivré ?
Elle saisit le coffre et le ramena dans la maison où les personnes de son village s'étaient rassemblés pour écouter le conte. Elle pénétra dans la salle, personne ne fît attention à son retour. Elle se trouva un coussin près du feu où elle s'assit en silence, se faisant discrète jusqu'à la fin du conte. Quand le narrateur se tût, les enfants se levèrent et se mirent à jouer. Measse, Dà lla et Olerion discutèrent au milieu des chérubins. Elle se leva et vint à eux avec le coffre, ils interrompirent leur discussion leurs regards posés sur le coffre ressemblant à tout point à celui qui avait été décrit dans le conte qui venait de leur être narré. Et si ce conte n'était pas qu'une simple histoire enfantine, mais une prédiction construite comme une légende.
Le conteur affairé non loin à faire vivre une autre histoire se mura en voyant la boîte. Il se mit debout et sortit de la salle avant de s'évanouir sous forme de poussières.
Lorsqu'ils se rendirent compte de sa disparition mystérieuse, une étrange sensation les envahit. Ils sortirent de la demeure en demandant à la jeune fille de rester dans la salle avec le coffre. Elle rejoignit en tout inconscience les enfants. Measse suivi d'Olerion et quelques d'habitants armés se dirigèrent vers un lieu qui semblait correspondre à un endroit dépeint dans le récit. A leur arrivée, ils virent des silhouettes légères se déplacer de manière étrange comme si elles ne touchaient pas terre. Ils s'approchèrent à découvert, les sorcières devinrent à leurs portées, des combats s'engagèrent alors qui durèrent toute la nuit.
Au levé du soleil, le calme était revenu sur le village et les campagnes avoisinantes. Measse et Olerion retournèrent dans la salle, ne sachant que penser de ce qu'il venait se produire durant cette étrange nuit. Ils firent le choix de ne pas affoler Dà lle et la jeune fille en leur racontant qu'il n'avait pas retrouvé le conteur et que rien de particulier ne s'était produit. Measse pria Olerion de prendre le coffre de l'emmener très loin de ces terres. Ce que fît Olerion, il déroba le coffre puis le transporta au bord d'un lac, il le mit dans un sac avec des pierres et le lança.
Au moment où le coffre sombra dans les profondeurs de l'eau, Olerion ressentit comme des sueurs froides, il ouvrit les paupières. Il était allongé sur la berge du lac. Ignorant si les faits qui venaient de se dérouler n'était qu'un rêve ou la réalité."[/i]
Mirricith posa sa plume puis lut le texte d'Olerion ainsi que la suite quelle avait écrit, trouva le résultat surprenant.
Elle s'empressa de rédiger cette missive :
[i]" Chers Habitants et Habitantes,
Vous avez attribués au manuscrit A l'Origine d'une histoire, cela coïncide avec la décision des Gardiens.
L'équipement revient donc au Sire Olerion, avec les félicitations de mes pairs et de moi.
Je tiens aussi à remercier Winog pour la suite de son récit.
Pour le mois de novembre, pas de thème imposé mais un style humoristique.
A vos plumes et à votre humour.
Au plaisir de vous lire."[/i]
[i]" ... La musique prenait de l'ampleur au fur et à mesure que la jeune fille s'approchait du coffre. Elle resta quelques minutes figée se posant milles questions qu'y avait-il dedans ? qu'est ce qui produisait cette mélodie ? Devait-elle le transporter ainsi fermé à sa chaumière ? Faire comme si elle ne l'avait pas vu ? Sans prendre conscience de son geste, elle posa sa main dessus, la symphonie l'hypnotisait. Comme si elle lui intimait de céder à la tentation de l'ouvrir.
Elle prit une grande inspiration puis posa ses paumes sur le couvercle doré et le souleva avec peine, une lumière en jaillit, aveuglée, elle ferma les yeux. La mélodie résonna de plus belle de notes assourdissantes et enivrantes. Elle ouvrit les yeux, la nuit était tombée, comme si elle avait perdu connaissance durant de longues heures. Le coffre toujours dans ses mains était vide. Qu'avait-elle délivré ?
Elle saisit le coffre et le ramena dans la maison où les personnes de son village s'étaient rassemblés pour écouter le conte. Elle pénétra dans la salle, personne ne fît attention à son retour. Elle se trouva un coussin près du feu où elle s'assit en silence, se faisant discrète jusqu'à la fin du conte. Quand le narrateur se tût, les enfants se levèrent et se mirent à jouer. Measse, Dà lla et Olerion discutèrent au milieu des chérubins. Elle se leva et vint à eux avec le coffre, ils interrompirent leur discussion leurs regards posés sur le coffre ressemblant à tout point à celui qui avait été décrit dans le conte qui venait de leur être narré. Et si ce conte n'était pas qu'une simple histoire enfantine, mais une prédiction construite comme une légende.
Le conteur affairé non loin à faire vivre une autre histoire se mura en voyant la boîte. Il se mit debout et sortit de la salle avant de s'évanouir sous forme de poussières.
Lorsqu'ils se rendirent compte de sa disparition mystérieuse, une étrange sensation les envahit. Ils sortirent de la demeure en demandant à la jeune fille de rester dans la salle avec le coffre. Elle rejoignit en tout inconscience les enfants. Measse suivi d'Olerion et quelques d'habitants armés se dirigèrent vers un lieu qui semblait correspondre à un endroit dépeint dans le récit. A leur arrivée, ils virent des silhouettes légères se déplacer de manière étrange comme si elles ne touchaient pas terre. Ils s'approchèrent à découvert, les sorcières devinrent à leurs portées, des combats s'engagèrent alors qui durèrent toute la nuit.
Au levé du soleil, le calme était revenu sur le village et les campagnes avoisinantes. Measse et Olerion retournèrent dans la salle, ne sachant que penser de ce qu'il venait se produire durant cette étrange nuit. Ils firent le choix de ne pas affoler Dà lle et la jeune fille en leur racontant qu'il n'avait pas retrouvé le conteur et que rien de particulier ne s'était produit. Measse pria Olerion de prendre le coffre de l'emmener très loin de ces terres. Ce que fît Olerion, il déroba le coffre puis le transporta au bord d'un lac, il le mit dans un sac avec des pierres et le lança.
Au moment où le coffre sombra dans les profondeurs de l'eau, Olerion ressentit comme des sueurs froides, il ouvrit les paupières. Il était allongé sur la berge du lac. Ignorant si les faits qui venaient de se dérouler n'était qu'un rêve ou la réalité."[/i]
Mirricith posa sa plume puis lut le texte d'Olerion ainsi que la suite quelle avait écrit, trouva le résultat surprenant.
Elle s'empressa de rédiger cette missive :
[i]" Chers Habitants et Habitantes,
Vous avez attribués au manuscrit A l'Origine d'une histoire, cela coïncide avec la décision des Gardiens.
L'équipement revient donc au Sire Olerion, avec les félicitations de mes pairs et de moi.
Je tiens aussi à remercier Winog pour la suite de son récit.
Pour le mois de novembre, pas de thème imposé mais un style humoristique.
A vos plumes et à votre humour.
Au plaisir de vous lire."[/i]
